Séminaire du CCPO – Fenêtre et pas de porte – Jean-Michel Arzur et Alexandre Faure
« Il n’y a pas d’autre entrée pour le sujet dans le réel que le fantasme[1]. »
En prenant cette phrase comme point de départ, comment démontrer que « la valeur de la psychanalyse, c’est d’opérer sur le fantasme[2] » ? Lacan de poursuivre « Le degré de sa réussite a démontré que là se juge la forme qui assujettit comme névrose, perversion ou psychose. » Quelles sont les conséquences de cette thèse sur la pratique de la psychanalyse ?
[1] Lacan J., « Compte rendu du séminaire 1966-1967, La logique du fantasme », dans Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 326.
[2] Lacan J., « Allocution sur les psychoses de l’enfant », dans Autres écrits, Paris, Seuil, 2001, p. 366.